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Un trimestre record pour Goldman Sachs
La saison trimestrielle aux États-Unis a débuté avec des résultats surprenants, et Goldman Sachs s’est démarquée par ses performances exceptionnelles. La banque a enregistré un bénéfice de 11,95 dollars par action, dépassant clairement les estimations de LSEG de 8,22 dollars. Les revenus ont atteint 13,87 milliards de dollars, soit également plus que prévu de 12,39 milliards de dollars
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Croissance de la gestion de fortune
Un élément clé du succès de Goldman Sachs a été sa division de gestion d’actifs et de fortune, qui a vu ses revenus augmenter de 8 %, pour atteindre 4,72 milliards de dollars. Cette hausse a été soutenue par une croissance de 12 % des activités supervisées, qui ont atteint le record de 3 140 milliards de dollars
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Stratégies gagnantes et optimisme pour l’avenir
Le PDG David Solomon s’est déclaré très satisfait des résultats obtenus, soulignant la manière dont la banque exploite la puissance de One Goldman Sachs pour servir les clients et créer de la valeur pour les actionnaires. Avec un environnement opérationnel en amélioration et une confiance croissante de la part des PDG, Goldman Sachs se prépare à poursuivre son expansion et à atteindre
de nouveaux objectifs.
Performance des banques de négoce et d’investissement
Les transactions boursières ont généré des revenus de 3,45 milliards de dollars, dépassant les estimations d’environ 450 millions de dollars.
Le négoce de titres à revenu fixe s’est également bien comporté, avec des revenus de 2,74 milliards de dollars, dépassant les prévisions de près de 300 millions de dollars. Les frais bancaires d’investissement ont atteint 2,05 milliards de dollars, ce qui a contribué aux résultats positifs de la banque
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Une année de croissance et d’opportunités
Goldman Sachs a connu une année de forte croissance, les actions de la banque ayant augmenté de près de 50 % l’année dernière, surpassant ainsi les performances des banques rivales. Ce succès a été alimenté par un cycle d’assouplissement de la Réserve fédérale et par l’élection de Donald Trump, qui a nourri les attentes en matière de fusions et de transactions
sur actions.